Le studio Deadcrows sort un nouveau financement participatif ce lundi 20 mai 2024 : Macadam Fairies !
Ce jeu est écrit à six mains par Roxane Bourget, Raphaël Bardas, Richard Polveroni. La campagne est accessible ici :
https://www.gameontabletop.com/cf3051/macadam-fairies.html
Macadam Fairies c’est quoi ?
Macadam Fairies est un jeu d’aventures fantastiques dans le monde d’aujourd’hui. Les joueurs y incarnent des Fugueurs.
Ils sont adultes, mais lors de leur enfance ils ont fugué, ou disparu, on ne sait pas bien, et en sont revenus changés. Depuis, ils voient le Pollen, l’énergie surnaturelle qui se dégage des émotions humaines, et certains se sont même découverts des pouvoirs ou des savoirs magiques. D’autres encore en ont rapporté un artefact qu’ils peuvent faire apparaître et disparaître à volonté.
Ils sont des créatures féeriques qui s’ignorent et vont devoir survivre dans ce monde moderne qui n’est pas le leur.
Macadam Fairies se joue ainsi dans un monde de gnomes égoutiers, d’ogresses assistantes sociales, de hautes faës chercheuses universitaires ou encore de minotaures gardiens de casse auto. On y croise aussi des élémentaires de l’air parachutistes, des dragons bibliothécaires, des bonnets-rouges humoristes, des fomoris mercenaires, des croque-mitaines vendeurs de jouets, des elfes botanistes et pourquoi pas, des leprechauns chercheurs d’or.
Les inspirations de Macadam Fairies
Au départ était Scales, un jeu des années 90, écrit et développé par quelques légendes du jeu de rôle français, telles que Croc, Stéphane Bura, G.E Ranne. Cependant, Macadam Fairies n’est ni une suite, ni une nouvelle version de Scales. Il repose simplement sur un principe assez proche : les personnages sont des créatures magiques dans le monde moderne et doivent découvrir qui elles sont.
Un autre jeu de rôle ayant fortement marqué l’imaginaire des auteurs, et dont la trace peut se retrouver dans l’ambiance de Macadam Fairies est Unknown Armies, le jeu d’Atlas Games. Il y est question de magie moderne (post-moderne même) où la pop-culture et l’inconscient collectif jouent un rôle essentiel.
Il y a aussi le cinéma des frères Coen, avec ses losers magnifiques, car les personnages de Macadam Fairies sont toujours un peu losers et un peu magnifiques… (imaginez donc une tarasque ou un sasquatch en train d’essayer d’acheter une boite de raviolis). On peut aussi y ajouter deux univers romanesques : celui de Neil Gaiman (sur à peu près toute son œuvre) et celui du roman Faërie de Raymond Elias Feist.
Enfin, malgré son titre, Macadam Fairies est un jeu français, dont la plupart des aventures publiées auront lieu en France et en Europe. C’est pourquoi il faut ajouter aux titres ci-dessus l’ambiance mystérieuse de certains romans de Maurice Leblanc (l’Île aux trente cercueils ! ), et l’ambiance intrigo-mystico-rigolote des polars de Fred Vargas, et l’ensemble de l’œuvre de l’elficologue Pierre Dubois.
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